Chacun de mes pas
Comme on cherche à mettre un pronom devant tous nos mots
La neige n’a pas une fois tombée et je recrée sa tempête
À vouloir me poser partout
Je le pense
Le temps est un majeur problème
J’ai lu qu’il était un cycle
C ‘est aussi pourquoi je m’essaie à entendre
Des airs de folklore qui flotteraient comme une brume
Qui soulèveraient les feuilles au sol
Je sais qu’au vent des quatre directions
On sent le temps tel quel
Que les saisons sont un retour à la maison
Seulement ma chambre une montagne cathédrale
Ou une forêt monastère
Ne sait pas durer dans les dehors trop humains
Et les dehors que je dessine, que j’imagine
Dans la beauté de l’impressionnisme
Et son détail difficile
Connaissent la dureté des villes
Leurs arrêtes qui découpent la nature
Alors que je la veux Un.
Je relis ce poème et je le trouve très bon. Je ne sais pas si je te l'avais dit plus tôt, enfin, c'est si simple de l'exprimer.
RépondreSupprimer