on recommande d’avancer le ton
dans une voix que je n'ai jamais su
quand déposer correctement
au moment des corps authentiques
se déplacardent en confiance
l’intime des mots nos hivers de vitre
écrasé d'éloquence d’enfoncement
je reviens défenestré de neige première
tes yeux comme des petites mâchoires
rongeant mes gestes d'inapte vérité
***
d’ambiances secouées rauques
je me voudrais meubles éclairés
charpente dans tes séismes
des journées d’angoisse
or me voilà situé de demeure intacte
me berçant dans mon confort spéculaire
dans les craquements de ma sensibilité
mais les tessons qui t’arrêtent le pied
et tes empreintes sur le carrelage sec
désormais m’engagent à l’orgueil du silence
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire