Des habitudes se rencontrent
Tu sais nous pourrions être grandioses
Avec un chapeau haut-de-forme
Et un bel habit digne
On tromperait tout le monde :
Dans nos mallettes, il y aurait un costume de clown
Et quand on le mettrait
Ils serait toujours dupes
Notre bel habit caché dans nos sacs clownesques
...
Je sais
...
Je ne suis jamais moi
Tu n'es jamais toi
Nous sommes des habitudes qui vaquent
Nous sommes des rivières sans lacs.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Tralala? Pas d'accord avec ce titre.
RépondreSupprimerJe trouve celui-ci très musical. Mériterait peut-être d'être transformé en chanson, si c'en est pas déjà une.
Je répondrais que le tralala que je connais n'est pas tant musical parce qu'il ne réfère à aucune mélodie précise, et qu'il n'est qu'une exclamation joyeuse vaguement chantante, et un peu forcée parfois, comme pour couvrir des paroles qu'on ne voudrait pas entendre.
RépondreSupprimerAh bévue. La musicalité s'adressait au poème en soi. Le jugement du titre est isolé.
RépondreSupprimervraiment bon alexis!!
RépondreSupprimer