De ce blanc flamboiement l'immuable accalmie
T'a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux
Tristesse d'été
Stéphane Mallarmé
De ce blanc flamboiement l'immuable accalmie
T'a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux
Dans ce noir sévère la peur crie l’épilepsie
Qui te rend la lucidité face à ses yeux
Palpitation de semence cardiaque
Où pousse mon insalubrité cérébrale
Vient de mon comportement dionysiaque
Longue perpétuité de sentiment sale
Les lourdes plumes sur tes épaules
Ne cessent de se fracasser contre le saule
Symbiose de blessure rayonnante
Vols à l’abri de toute constance
Doux pansement émergeant sur mon épiderme
Douce floraison
Aigre émancipation
Aigre infini qui vient à son terme
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