Sur le mur quelques instants me proposent une cornée
Un faisceau découpe parce que rien n'est plus extérieur que d'abattre les strates
qui s'impriment au creux de nous
Parce que la fenêtre nous fuit dans les ombres qu'elle laisse,
les trois secondes discutent le moment, l'effacent d'autant qu'elles le créent
Plus le temps avance et plus prévoir soustrait à quelques plans vus de face
Plus il diminue les aspérités qui traversent le corps
et le cahutent et le basculent, et le traversent.
( Les cônes au bout du doigt, j'ai ouvert une case où tout s'efface, mais tout se vit)
Un faisceau découpe parce que rien n'est plus extérieur que d'abattre les strates
qui s'impriment au creux de nous
Parce que la fenêtre nous fuit dans les ombres qu'elle laisse,
les trois secondes discutent le moment, l'effacent d'autant qu'elles le créent
Plus le temps avance et plus prévoir soustrait à quelques plans vus de face
Plus il diminue les aspérités qui traversent le corps
et le cahutent et le basculent, et le traversent.
( Les cônes au bout du doigt, j'ai ouvert une case où tout s'efface, mais tout se vit)
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