Le corps de tôles givrées
Au centre est fixé un fourneau
Qui fabrique des gouffres
En brûlants tumultes
La mécanique sauvage titube
Et attire dans sa chute
Ses schémas ferreux
Des ficelles de mercure
Traversent les omoplates
S'enrubannent à mi-chemin
Pour ressortir à la poitrine
Le câble perce l'horizon
À deux mains, la route se laisse tirer
Des éclats de macadam dans le visage
Il faut dire: « à une prochaine fois »
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